Discussion:Familles du Puy

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Développement 2024[modifier le code]

Bonjour, je vois que tu étais intervenu sur cette page. Cet ajout, non sourcé, est-il conforme ou doit-il être amendé, voire retiré ? B-noa (discuter) 31 mars 2024 à 09:06 (CEST)[répondre]

Bonjour B-noa (d · c · b),
Merci pour votre travail de révision et de développement sur le présent article. L'une des familles listées risque toutefois d'attirer à nouveau le CAOU en conflit d'intérêts qui a noirci de la PDD et entretenu une GE sur le Portail pendant plusieurs années. Il vous reviendrait en un tel cas d'assurer la protection de cet article.
Je suppose que Iyy (d · c · b) voudra probablement ajouter d'éventuels compléments ou précisions sur une famille ou sur une autre.
Cordialement, Keranplein (discuter) 10 avril 2024 à 14:11 (CEST)[répondre]
Bonjour Keranplein (d · c · b),
C'est avec plaisir que d'apporter quelques compléments, constatant l'absence de réaction depuis mon alerte.
Cette page n'étant pas dans ma liste de suivi, celui qui constatera des débordements aura tout le loisirs d'intervenir, d'ouvrir une RA, voire, dans une certaine mesure, me joindre sur ma PDDu.
--B-noa (discuter) 10 avril 2024 à 14:35 (CEST)[répondre]
Bonjour B-noa et Keranplein Émoticône, je viens de faire quelques corrections sur cette liste qu'il faut en effet surveiller voire bloquer si une GE démarre car en effet la famille du Puy-Montbrun était dite subsistante... Bien cordialement, Iyy (discuter) 16 avril 2024 à 20:39 (CEST)[répondre]
Bonsoir, il est nécessaire d'ajouter des informations à la nouvelle section que vous avez créé, afin d'éviter sa suppression. Bien cdlt, --B-noa (discuter) 16 avril 2024 à 21:06 (CEST)[répondre]

Bonjour Мя Масніи (d · c · b),

Merci pour vos compléments sourcés apportés à cette liste.
La mention des armes et du blasonnement de certaines familles pose toutefois un sérieux problème quand une ou plusieurs familles récentes se sont approprié abusivement les armes d'une famille plus ancienne, comme c'est le cas par exemple ici des nombreuses et fausses familles du Puy-Montbrun, éteintes ou subsistantes. Cette mention laisse en effet croire au lecteur lambda que ces familles pourraient avoir une origine commune, alors qu'il n'en est rien.
Ne faudrait-il pas préférer en un tel cas les armes antérieures des familles concernées, avant qu'elles en changent pour adopter les armes d'autrui ?
Notification Iyy :

Cordialement, Keranplein (discuter) 17 avril 2024 à 14:51 (CEST)[répondre]

Bonjour Keranplein,
Sauf erreur, je n'ai pas trouvé d'autres armes dans ces références…
Cordialement, Мя Масніи (discuter) 17 avril 2024 à 15:03 (CEST)[répondre]

Famille subsistante du nom du Puy-Montbrun[modifier le code]

Notice du Clément 2024 :

Puy-Montbrun (du), olim Podio, del Puech, del Puech de La Bastide (Languedoc (Albi)) :
Extraction depuis Pierre du Puy, vivant en 1428. Maintenue noble le 26 novembre 1668 par Bazin de Bezons, intendant du Languedoc (AR).
Reçue aux Honneurs de la Cour pour la branche de Melgueil en avril 1789 sur filiation prouvée devant Chérin depuis 1190 avec filiation établie sans interruption depuis 1264 (AR). Preuves pour Saint-Cyr le 13 juillet 1701 sur titres de 1428 (AR) et le 13 octobre 1788 (AR).
(Rameau éteint La Riverolle) Vicomte héréditaire par L.P. en novembre 1827 et autorisé par ordonnance du 6 avril 1828 à substituer Melgueil à La Riverolle.
Famille distincte de la grande maison du Puy-Montbrun éteinte en 1741. [ANF-1969, SS sup, V07]
Postérité d’Abel (1839-1893).
D’or au lion de gueules armé et lampassé d’azur.


Bonjour Lothaire57 (d · c · b),

La famille du Puy-Montbrun prétend sur la liste WP des familles nobles françaises (L-Z) avoir présenté dans le bulletin ANF n° 326 de décembre 2023 une filiation suivie remontant à 1264, qui aurait été validée par la Commission des Preuves et l'Assemblée Générale. Y aurait-il eu une AG fin 2023 ?
Je vois à la lecture de votre notice ci-dessus que vous semblez avoir accepté cette prétention et quelques autres de cette famille. Or, le long développement opportunément déposé ci-après nous rappelle que cette famille est l'auteur de l'une des plus grandes arnaques, à plusieurs volets, de l'histoire de la noblesse française, longuement débattue sur WP pendant des années avec un membre de cette famille en conflit d'intérêts, banni depuis de WP.
Je crains qu'il faille prévoir de sérieusement réviser votre notice sur cette famille.
Notification Heurtelions et Iyy :

Cordialement, Keranplein (discuter) 16 avril 2024 à 20:04 (CEST)[répondre]

Contribution[modifier le code]

Bonjour Keranplein (d · c · b), Lothaire57 (d · c · b),

Cette famille du Puy-Montbrun (olim Delpuech de Cagnac puis Delpuech Dupuy et Dupuy du Colombier jusqu'en 1830) originaire d'Albi dans le Tarn fut maintenue noble le 26 novembre 1668 par M. de Bezons sur une filiation remontant à Pons Delpuech qui teste le 4 octobre 1456. [1]. Au 19e siècles ses membres se déclarèrent dans des actes d'état-civil sous les noms « Dupuy-Montbrun » (en 1830) puis « du Puy-Montbrun » (en 1882)

En tout cas cette famille subsistante du nom du Puy-Montbrun ne fut jamais reçue aux honneurs de la Cour. C'est un Marc Antoine Guillaume Dupuy, sieur de la Riverolles qui fut reçut en 1789 aux honneurs de la cour sous le titre de « vicomte du Puy-Melgueil » et ce grâce à une généalogie frauduleuse.

Ce Marc Antoine Guillaume Dupuy, sieur de la Riverolles appartenait en réalité à une famille protestante originaire de Castres (Tarn) issue de Pierre Dupuy, notaire et consul de la ville en 1586. Cette famille Dupuy se  fixa au début du XVIIe siècle à Puylaurens (Tarn) et ensuite au château de la Bousquetie à Saint-Paul-Cap-de Joux (Tarn). Elle s'est éteinte en 1852 avec Antoine louis vicomte Dupuy-Melgueil (né Dupuy de la Riverole et autorisé en 1828 à substituer au nom la Riverole celui de Melgueil), décédé sans postérité le 22 janvier 1852 à Montauban.

Cette famille a été condamnée deux fois par décisions de justice pour usurpation de noblesse avec :

  • Jean Dupui de la Bousquetière (du diocèse de Lavaur) condamné pour usurpation de noblesse en 1676[1].
  • Dupuy, sieur de Riverolles condamné pour usurpation de noblesse par M. de Lamoignon entre 1697 et 1716[2].

Une généalogie manuscrite (non signée non daté, cachet "Bibliothèque Royale) intitulée  « Mémoire sur la famille de "DuPuy" en Albigeois, Province de Languedoc » contenue dans le dossier des preuves présentées par « Marc Antoine du Puy, seigneur de la Riverolles et de La Bousquetié au diocèse de Lavaur » à Louis Nicolas Hyacinte Chérin pour son admission aux honneurs de la cour en 1789, donne à cette famille une filiation remontant à 1190 et la présente comme une branche de la famille Delpuech de Cagnac (de l'Albigeois) par « Pierre du Puy, écuyer, habitant de castres, commandant de Figeac » donné comme « 2e fils du 2e mariage de Guy du Puy, écuyer, seigneur de Cagnhac et coseigneur de Carmoux »[3].

Marc Antoine Guillaume Dupuy (nom légal mentionné dans l'acte de baptême de son fils Antoine Louis en 1776)[4] alias « Marc Antoine Guillaume du Puy, seigneur de la Riverolles et de La Bousquetié » (nom donné dans le dossier pour les honneurs de la cour)[3] fut admis aux Honneurs de la Cour le 3 mars 1789 sous la qualification de « vicomte du Puy-Melgueil »[5]. La gazette de France (mars 1789) mentionne un vicomte du Puy-Melgueil qui eu l'honneur d'être présenté au roi le 3 mars eut celui de monter dans les voitures de Sa Majesté, et de la suivre à la chasse[6][7].

Ce rattachement à la famille Delpuech de Cagnac est contredit par Barnabé Farmain de Rosoi qui indique dans les Annales de Toulouse (1772) que Pierre Delpuech (fils de Guy Delpuech seigneur de Cagnac et de demoiselle de Varagne) mourut sans postérité[8].

A partir de Nicolas Viton de Saint-Allais (en 1815)[9] qui donne une généalogie de cette famille (sous le nom du Puy-Melgueil qu'à cette date elle n'a jamais porté au cours des siècle), des auteurs ont repris ce rattachement falsifié à la famille Delpuech de Cagnac (de l'Albigeois) donné dans les preuves présentées pour les honneurs de la Cour.

En 1902 Le vicomte Albert Révérend écrit : « du Puy (Melgueil) de La Riverolle : cette maison d’ancienne noblesse du Languedoc, sortirait d’après une tradition des comtes de Comminges. Elle établir sa filiation suivie depuis Deodat du Puy, damoiseau de la Bastide, fils de Pons, qui épousa Helis de Lescure et testa le 20 juin 1394 »[10].

Les actes authentiques consultables de baptêmes, de mariages et de décès au 17e siècle[11] des membres de cette famille Dupuy originaire de Castres et à Puylaurens et les actes officiels de condamnation pour usurpation de noblesse à la fin du 17e siècle[1][2] ne leur attribuent aucune qualification nobiliaire et leur donnent le nom « Dupuy » et non « du Puy » et indiquent que la généalogie présentée pour les honneurs de la cour contient des éléments frauduleux.

La famille Dupuy de La Riverolle s'est éteinte en 1852 avec son dernier descendant Antoine-Louis Dupuy-Melgueil (né Dupuy de la Riverole, fils de Marc Antoine Guillaume Dupuy et de Marie-Anne de Babut[4], lieutenant-colonel d'infanterie, décédé sans postérité le 22 janvier 1852 à Montauban[12], titré vicomte héréditaire en 1827 et autorisé par ordonnance du 6 avril 1828 à substituer au nom La Riverole celui de Melgueil[13].

Généalogie frauduleuse Dupuy de La Riverolle[modifier le code]

La thèse selon laquelle la famille Dupuy de la Riverolle serait une branche cadette de la famille Delpuech de Cagnac (de l'Albigeois) s'est trouvée contredite au XXe siècle par deux historiens du protestantisme : Géraud Dumons dans Les réfugiés du pays Castrais (1912 et 1924)[14][15] et l'érudit et historien protestant Gaston Tournier[16] dans Deux compagnons d'infortune Jérémie Dupuy, de Caraman - Jean Mascarenc, de Castres (1934)[17].

Ces deux auteurs donnent pour origine à cette famille Dupuy originaire de Castres et fixée à Puylaurens au début du XVIIe siècle, Pierre Dupuy protestant et notaire à Castres, consul en 1586 et 1593, marié à N de Terson. Ils donnent une filiation de cette famille suivie jusqu'à Marc-Antoine Dupuy (né en 1668, mort le 18 mars 1733) sieur de Laroque, marié à sa cousine Louise Dupuy du Tour, fille de Jean et de Marie de Fauriès.

Nicolas Viton de Saint-Allais indique que ce même personnage qu'il nomme « Marc Antoine du Puy, seigneur de la Roque et de la Bousquetie (…) décéda le 18 mars 1733 (…) marié par contrat du 17 novembre 1697 à demoiselle Anne du Puy, fille de noble Jean, écuyer, seigneur du Tour et de demoiselle Marion et de Marie de Fauriès » fut :* le père de : « Louis Joseph du Puy seigneur de La Riverolle », marié le 12 janvier 1745 à Elisabeth Marchand* Le grand père de :  « Marc Antoine du Puy seigneur de La Riverolle et de la Bousquetier », marié en 1770 à Marie Anne de Babut-Nogaret, admis à monter le 3 mars 1789 dans les carrosses du roi et à le suivre à la chasse sous la qualification de vicomte du Puy-Melgueil »[5].

Jean Dupuy, sieur de La Bousquetie, mort le 5 novembre 1694 et inhumé le 6 dans l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve à Saint-Paul-Cap-de-Joux( Tarn)[18] paya en 1676 une amende pour usurpation de noblesse, à la suite d'un jugement de M. Basin de Bezon, intendant du Languedoc et commissaire pour le roi pour la recherche des faux-nobles dans cette province [1]..
Il pourrait être le personnage nommé par Nicolas Viton de Saint-Allais « Jean du Puy, seigneur de la Bousquetie, officier d'infanterie (…) marié par contrat du 10 février 1664 avec mademoiselle de Gineste »[19] 

Généalogie simplifiée[modifier le code]

Selon les travaux de recherche publiés par Géraud Dumons et Gaston Tournier sur la famille Dupuy de Castres fixée à Puylaurens au début du XVIIe siècle et les actes de baptêmes, de mariages et de décès de l'église de l'église réformée de Puylaurens (Tarn) et de l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve à Saint-Paul-Cap-de-Joux (Tarn) :

  • I) Pierre Dupuy, notaire à Castres, consul en 1586 et 1593, et longtemps syndic de cette ville, marié à une demoiselle Terson qui lui donne quatre enfants : Jérémie, Samuel, Estelle, David.
    • II) Jérémie Dupuy, conseiller du roi, juge de Villelongue à Puylaurens de 1602 à 1642, épouse le 15 juillet 1607 Marie de Rotolp, dont :
      • III) Samuel Dupuy (+1650), docteur et avocat, sieur de la Bousquetié, marié le 31 mars 1640 à Caraman (Tarn)à Marie Le Roy (+1698)[20], dont :
        • IV) Jean Dupuy, né le 24 juillet 1642 à Puylaurens (Tarn)[11], sieur de la Bousquetié, mort le 5 novembre 1694 et inhumé le 6 dans l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve à Saint-Paul-Cap-de-Joux( Tarn)[18]. Marié le 10 février 1664 à madeleine de Gineste (1639-1692). Officier d’infanterie, abjura en 1677. Dont :***** Philippe Dupuy (vers 1666-1690), sieur de la Bousquetié, émigra à la Révocation, fut capitaine des troupes anglaises, et fut tué à la bataille de La Boyne en 1690;
          • David Dupuy (vers 1669-1690), émigré à la Révocation, lieutenant en Angleterre. Il fut aussi tué à la bataille de La Boyne en 1690;***** Samuel Dupuy, émigré à la Révocation, officier en Angleterre, où il se maria. On ignore sa postérité;
          • Marie, mariée en 1684 à Jacob Bruniquel du Thérondet, pasteur à Lacrouzette et à Briatexte. Tous deux se réfugièrent en Hollande lors de la Révocation;
          • Jacquette (ou Jeanne), marié à Guy-Aldonce de Chahornat, seigneur de Cabrilles;
          • V) Marc Antoine Dupuy, sieur de Laroque, né en 1668, mort le 18 mars 1733 à Saint-Paul-Cap-de-Joux (Tarn)[21], marié le 17 novembre 1697 à Anne Dupuy du Tour sa cousine, d'où 6 enfants :
            • Antoine Joseph Dupuy, médecin, marié à mademoiselle Ranchin. Il n'eut qu'un fils prêtre, mort à Cadix en Espagne où il avait émigré;
            • Jean-Samuel, religieux;
            • Madeleine;
            • Annne;****** VI) Louis Joseph Dupuy, seigneur de la Riverolle, lieutenant d'infanterie, marié le 12 janvier 1745 à Castres (Tarn) à Elisabeth Marchand, dont :
              • VII) Marc-Antoine-Guillaume Dupuy (nom légal dans l'acte de baptême de son fils Antoine Louis Dupuy de la Bousquetie en 1776)[4], seigneur de La Riverolle et de la Bousquetié, marié le 29 avril 1770 à Castres (Tarn) à Marie-Anne de Babut-Nogaret. « Admis, sur preuves certifié Chérin, à monter le 3 mars 1789, dans les carrosses du roi et à le suivre à la chasse, sous la qualification de vicomte du Puy-Melgueil »[5];
              • Barthélémy-Guillaume-Louis-Antoine Dupuy, religieux, dit l'Abbé Dupuy.
        • Louise Dupuy (vers 1644) mariée en 1659 à Jean de Brail, sieur de Moulens;
        • Marie Dupuy qui épouse le 5 juillet 1666 Josué de Lupé de Tilhac;
        • Jeanne Dupuy qui épouse le 20 octobre 1671 Pierre Bardon;
        • Antoinette Dupuy (1650-1696) qui épouse le 22 juin 1673 Philippe de Gineste, sieur de Najac;
        • Marthe qui épouse François Imbert.
      • III) David Dupuy (mort en 1678), écuyer, sieur de Beauvais et du Tour, capitaine d'infanterie au régiment de Grandval, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi en 1661, marié le 20 septembre 1641 avec Paule de Rivenc, dont :
        • IV) Jean Dupuy, sieur du Tour. Resté en France après la Révocation, mais très surveillé : « Catholique ambigu, ayant une espèce de château au milieu des bois, paroisse de Prades, partage son séjour entre Puylaurens et le Tour, a des enfants en bas-âge » (Arch. de l'Hérault, C., 273), marié le 11 mars 1671 à Marie de Fauriès;
        • Jean-Samuel;
        • louise, marié à son cousin Marc-Antoine Dupuy, sieur de Laroque;
        • Samuel, capitaine tué en duel dans les rues de Puylaurens en 1673;
        • Paule, épouse Paul de Villeneuve, sieur de Lamothe;
        • Marie, épouse Pierre de Robert, sieur de Campredon, gentilhomme verrier;
        • Isabeau, ép. Jacques Bieysse.
      • Jeanne Dupuy qui épouse en 1641 Pierre Calès, lieutenant ordinaire de Caraman;*** Isabeau Dupuy qui épouse en 1628 Antoine de Mauzy, procureur du roi à Puylaurens;
      • Marguerite;
      • Abel.
    • Samuel Dupuy, sieur de Galibran, 1er consul de Mazamet, capitaine dévoué à Rohan;** Estelle, mariée en premières noces à Simon Tobie, notaire royal de Castres et en deuxièmes noces (contrat du 7 mars 1619, Lagarail, notaire à Puylaurens) à Jean Baudin, bourgeois de St-Paul;
    • II) David Dupuy (+ 1626), pasteur au Carla, aux Bordes et à Caraman, épouse Marguerite Quinquiry, dont :
      • III) Jérémie Dupuy, né le 23 février 1616, mort 14 février 1704 à Berne), célibataire, officier, persécuté pour la foi, auteur de « La juste reconnaissance », *** Marie, née le 23 mars 1618, mariée à Jean Baron, bourgeois de Caraman.

Généalogie simplifiée branche Dupuy de La Riverolle[modifier le code]

  • Maitre Samuel Dupuy, avocat, marié le 31 mars 1640 à Caraman (Tarn) à Marie Le Roy[20], dont :
    • Jean Dupuy, baptisé le 14 juillet 1642 en l'église réformée de Puylaurens (Tarn))[11], mort le 5 novembre 1694 et inhumé le 6 dans l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve à Saint-Paul-Cap-de-Joux( Tarn)[18], sieur de La Bousquetie. Il paya en 1676 une amende pour usurpation de noblesse, à la suite d'un jugement de M. Bazin de Bezon, intendant du Languedoc et commissaire pour le roi pour la recherche des faux-nobles dans cette province[1]. Marié le 10 février 1664 à madeleine de Gineste (1639-1692). Officier d’infanterie, il abjura en 1677. Dont :
      • Marc Antoine Dupuy, sieur de Laroque, né en 1668, mort le 18 mars 1733 à Saint-Paul-Cap-de-Joux (Tarn)[21], marié le 17 novembre 1697 à Anne Dupuy du Tour sa cousine, dont :
        • Louis Joseph Dupuy, seigneur de la Riverolle, lieutenant d'infanterie, marié le 12 janvier 1745 à Castres (Tarn) à Elisabeth Marchand, dont :
          • Marc-Antoine-Guillaume Dupuy[4] sieur de La Riverolle et de la Bousquetié, marié le 29 avril 1770 à Marie-Anne de Babut. « Admis,sur preuves certifié Chérin, à monter le 3 mars 1789, dans les carrosses du roi et à le suivre à la chasse, sous la qualification de vicomte du Puy-Melgueil » ref name="Saint-Allais 48"/>, dont :
            • Antoine Louis Dupuy de la Riverole (né sous ce nom le 10 octobre 1776 et baptisé le 11 octobre 1776 en l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve à Saint-Paul-Cap-de-Joux (Tarn)[4]. Lieutenant-colonel d'infanterie, il fut titré vicomte héréditaire par lettres patentes de 1827 avec règlement d'armoiries « D’or au lion de gueules armé et lampassé d’azur »[10]. Par ordonnance du 6 avril 1828, il fut autorisé à substituer au nom "la Riverole" celui de  "Melgueil"[13]. Il meurt sans postérité et dernier de sa famille le 22 janvier 1852 à Montauban[12].

Références[modifier le code]

  1. a b c et d Compte général de la recepte des amendes payées par les faux nobles, en exécution des jugemens de Mr de Bezons, intendant en Languedoc.
  2. a et b Inventaire-sommaire des Archives départementales de la Haute-Garonne  antérieures à 1790, 1878, page 95 : Intendance du Languedoc Jugements d’usurpation de noblesse (1697-1716) rendus par M de Lamoignon, intendant de Languedoc, contre Dupuy, sieur de Riverolles.
  3. a et b Fond Chérin, cote 165, dossier 3341, « Mémoire sur la famille de Dupuy en Albigeois, Province de Languedoc » non signé, auteur anonyme.
  4. a b c d et e Etat-civil en ligne du Tarn, Saint-Paul-Cap-de-Joux, registres de l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve : baptême le 11 octobre 1776 d'Antoine Louis Dupuy de la Riverole, fils de Marc Antoine Guillaume Dupuy.
  5. a b et c Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, 1873, page 48.
  6. Gazette de France n°20 10 mars 1789
  7. Gazette de France n°22 17 mars 1789 (corectif).
  8. Barnabé Farmain de Rosoi, Annales de Toulouse, 1772, page 184.
  9. Nicolas Viton de Saint-Allais Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, tome V, 1873, page 44.
  10. a et b Vicomte Albert Révérend, Les familles titrées et anoblies au XIXe siècle : titres, anoblissements et pairies de la Restauration 1814-1830 , Tome 2 (1902), page 484.
  11. a b et c Etat-civil en ligne du Tarn, Puylaurens, registres de l'église réformée : baptême le 24 juillet 1642 de Jean Dupuy, fils de Maitre Samuel Dupuy, avocat à la cour et de Marie Le Roy.
  12. a et b Etat-civil en ligne du Tarn et Garonne, Montauban : acte de décès le 22 janvier 1852 d'Antoine Louis Dupuy-Melgueil
  13. a et b Bulletin des lois de la République Française, 1828, page 392.
  14. Géraud Dumons, Les réfugiés du pays Castrais: généalogie de la Famille Dupuy, publié dans La Revue historique, scientifique et littéraire du département du Tarn, 1912, page 176.
  15. Géraud Dumons, Les réfugiés du pays Castrais, 1924, édition revue et publié par Gaston Tournier, Impr. Ed. Julien-Mazamet.
  16. Frédéric Fabre, Protestantisme et colonisation. L'évolution du discours de la mission protestante française au XXe siècle KARTHALA Editions, 2011, page 125.
  17. Gaston Tournier,Deux compagnons d'infortune Jérémie Dupuy, de Caraman - Jean Mascarenc, de Castres  : généalogie de la Famille Dupuy, Edition Le Musée du Désert en Cévennes, 1934.
  18. a b et c Etat-civil en ligne du Tarn, Saint-Paul-Cap-de-Joux, registres de l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve : décès le 5 novembre 1694 de Monsieur Jean Dupuy sieur de la Bousquetie.
  19. Nicolas Viton de Saint-Allais Nobiliaire universel de France, 1815 page 45.
  20. a et b Etat-civil en ligne du Tarn, Caraman, registres de l'église de Caraman : mariage le 31 mars 1640 de Jean Dupuy avec Marie Le Roy
  21. a et b Etat-civil en ligne du Tarn, Saint-Paul-Cap-de-Joux, registres de l'église Sainte-Cécile de Plane-Sylve : décès le 18 mars 1733 de noble Marc Anthoine Dupuy sieur de La Roque

Bibliographie[modifier le code]

Iyy (discuter) 17 avril 2024 à 15:58 (CEST)[répondre]